Juillet 1968, Juliette, Martine et Bénédicte quittent Pithiviers pour venir vivre à Paris. 18 ans, des défis plein les poches, une certitude : elles vont réussir. Mais le monde ne se laissera pas conquérir comme ça. La vie n’est ni un conte de fées, ni un film sur grand écran. Ce roman d’apprentissage raconte les rêves et les appétits de toute une génération.
Depuis que j’ai dévoré les trois tomes qui ont achevé de faire connaître Katherine Pancol – Les yeux jaunes des crocodiles, La valse lente des tortues, Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi – je suis restée très attachée à la façon d’écrire de cette auteure.
Certains ont pu critiquer la simplicité de son écriture ou encore celle de ses intrigues. Je ne trouve pas. Pour la grande fan de Zola et autres Balzac que je suis, je trouve que Katherine Pancol sait croquer les personnages à échelle humaine et il nous semble qu’on pourrait les fréquenter. Au fil des pages les personnages deviennent familiers et l’on évolue avec eux. L’histoire est simple certes, mais elle n’en est que plus réaliste.
Ce que j’adore plus que tout c’est la façon qu’elle a de mettre en mot ce que je pense bien souvent. Et alors quand je lis ces quelques lignes je me dis Oui, c’est comme ça que j’aurais aimé le mettre en mots.
J’espère que ces quelques lignes sur la mort du Général de Gaulle vous aura donné envie de lire Katherine Pancol.